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Extérieur nuit

L'obscurité et les plans larges donnent à l'espace une dimension infinie, alors même qu'il fixe des endroits insolites où rien ne semble circuler. "Les tunnels , les longs couloirs de la vie et sa disparition restent pour moi des lieux privilégiés".

L'intruse

Les dernières images de Claude réalisées à l'hôpital.
Une sorte d'auto-portrait du côté d' Alain Cavalier, Mario Giacomelli et Robert Frank... Malgré la maladie, un regard étonnant, toujours et encore éveillé...
« Jean-Claude Laffitte »

Djibouti

En 2004, Claude Dityvon et Claude Jeancolas reprennent pour la première fois depuis 1886 le chemin de Rimbaud dans l'actuelle République de Djibouti. Une exposition puis un livre "La caravane Rimbaud" complètent cette invitation au voyage.

Zanzibar

"Longtemps sédentaire parisien, Dityvon est devenu voyageur.
Né dans un port, l'appel du large a eu raison de lui. En juin 2002, il pose le pied sur l'île de Zanzibar... "
Vanessa Ortola

La disparition

Silhouettes traquées, rarement affrontées, Dityvon s'attache à éliminer tout ornement superflu.
Vanessa Ortola - "Dityvon, La liberté du regard"

Moments de tournage

En 1985, on a pu apercevoir Dityvon sur dix tournages différents.
"Je ne sais pas comment fait Dityvon. Avec un assistant et deux comédiens qui attendent la prise de vue adossés à un arbre, il arrive à recréer complètement l'atmosphère du film."
Claude Chabrol

Portraits de cinéma

Dans cette série de 1985, comme dans Moments de tournage  Dityvon selon Serge Daney « capte quelque chose qui appartient en propre au cinéma français : sa statuaire refoulée (…) »
« Album de tournages » Les cahiers du cinéma

Canaux

Dans l’Europe de 1992, les canaux, système d’échanges et de rencontres, lieux de convivialité et d'appréhension du temps et de l’espace, laissent place à de nouveaux systèmes où le critère essentiel est la vitesse et où le regard n’aura plus le temps de se poser.
C’est de cette évanescence du visible dont nous parle Dityvon.

L'Homme qui marche

"Photographier l’homme qui marche, référence au sculpteur et peintre GIACOMETTI, est ma principale interrogation. Je m’y retrouve lorsque j’avance pas à pas, hésitant, fragile, déterminé, le torse droit d’écorché vif s’élevant vers je ne sais quel espace cosmique."